Histoire sans paroles (et ni queue ni tête)

Comments

[Didier Goux]

Bon, mon précédent message est bourré de fautes et de répétitions impardonnables : shame on me...

[Didier Goux]

Ah ! pardon, pardon : votre rouge est bien trop clair, pas assez "sang de boeuf", pour le drapeau espagnol ! Mais, bon : si c'est une référence à la république espagnole, la génération de 27, tout ça, je ne dis plus rien : une belle tranche de ma jeunesse a partie liée avec tout ça. (J'envisage depuis un moment de créer un nouveau "libellé" sur mon blog, qui s'appellerait "Juan le grand", où je raconterais tout ça, mais, pour l'instant, je recule devant l'obstacle...

España, piedra estoica
que se abrio en dos pedazos de dolor
Y de piedra profunda...

A aquel pais, se lo venian diciendo
Desde hace tanto tiempo :
Mirate y lo veràs.
Tienes forma de toro,
De piel de toro abierto,
Tendido sobre el mar.

(Pardon pour les accents que mon clavier ne permettent pas...)

[honey]

Mon rouge est loin d'être méchant.

Mon jaune le complète afin de représenter le drapeau espagnol.

Il me manque le violet pour y représenter celui de la (défunte) République espagnole.

[Didier Goux]

Je ne leur faiS, évidemment...

[Didier Goux]

Les Carmes ont cramé, ou quoi ? Ou alors, aucuns travaux n'ont été faits depuis la séparation de l'Église et de l'État...

Si c'est ça qu'on appelle les pompes du catholicisme apostolique et romain, je ne leur fait pas mes compliments.

(Dites, c'est la première fois que je viens chez vous : il flashe méchamment, votre fond rouge !)